CARINE VENDÔME (64) accompagnée par son épinette des Vosges
Sur réservation – 10H (25 mn)
PETITE ENFANCE (de 6 mois à 5 ans)
Un perroquet tout bleu et très poli a un nouveau voisin : un énorme chat tout gris ! Il l’invite pour un fameux goûter qui va bien vite tourner à la gloutonnerie…. Ce chat a un estomac de géant, il n’en a jamais assez et avale tout ce qui passe sur son chemin ! Mais comment va se terminer ce festin? Toute cette histoire commence devant les fourneaux. Ce théâtre d’objets permet de découvrir des spatules, marmite, ciseaux…
C’est une cuisine d’objets en-chantés !
MURMURES D’ABEILLES
CONTES CHANTS ET MUSIQUES
COMPAGNIE LES VIREVOLANTES (26) avec Brigitte Ragot et Odile Leibenguth
16H (1h)
TOUT PUBLIC (à partir de 6 ans)
« Dis, grand-mère, l’hiver, les abeilles, elles dorment ? » Et si les abeilles, dans leur ruche, chantaient et se racontaient les histoires butinées aux 4 coins du monde ? Et si elles nous parlaient de notre humanité ? La solidarité, la force des petits, le partage ? Notre monde existerait-il sans les abeilles ? Mais attention !…
Ça frotte, ça pique aussi !
Et ça bourdonne joyeusement…
Rdv dans le jardin de la Maison de Retraite Saint-Joseph
FARANDOLE CELTIQUE
CONTES, CHANTS ET MUSIQUES
COMPAGNIE LES VIREVOLANTES (26) avec Brigitte Ragot et Odile Leibenguth
21H (1h10)
TOUT PUBLIC (à partir de 10 ans)
Chaque année, le jour où le soleil d’automne a poudré d’or toutes les feuilles des arbres, c’est la fête de Samhain. Et ce jour-là, quand la nuit tombe, s’ouvrent les portes de l’Invisible. Vous cheminerez alors dans le monde oublié des esprits de la nature. Derrière les feuillages, vous apercevrez le regard noble d’un elfe, le sourire espiègle d’un korrigan ou les ailes irisées d’une fée. Vous entendrez leurs rires et leur malice, leur grâce.
Les musiques et les chants, de la Bretagne aux terres gaéliques, accompagneront chacun de vos pas.
Une balade entre féérie et poésie.
Dimanche 4 août
AU TEMPS OÙ LES BREBIS PARLAIENT
CARINE VENDÔME (64) accompagnée par son épinette des Vosges
16H (50 mn)
TOUT PUBLIC (à partir de 7 ans)
Les très anciens bergers le savent, fut un temps les brebis causaient ! C’est ce qu’on dit, qu’il y a très longtemps, une nuit un berger insomniaque a tout entendu.
Ses bêtes se racontaient des histoires pour ne pas s’endormir… Des histoires à dormir debout, des secrets de la montagne et même des devinettes !
Enfin, une belle et grande histoire d’amour entre un berger et une fée…
C’est ce qu’on dit, alors je le dis moi aussi, parole de conteuse !
L’ARBRE
BALADE CONTÉE
COMPAGNIE L’OISEAU TONNERRE (64) Jean-Claude Tessier, parole et Marie-Pierre Tellechea, mouvement
18H (1h15)
TOUT PUBLIC
Quoi de plus beau qu’un arbre ; ce végétal majestueux plonge ses racines dans l’imaginaire de la terre mais aussi dans celui de la folie ou de la sagesse de l’homme. À travers des contes, légendes, poésies et récits du monde entier, le spectateur entrera dans cette magie, de la parole, du son et du mouvement. À travers un final chorégraphique étonnant, l’Homme retrouvera enfin ses racines sylvestres!
Rdv à la Maison Carrée.
Vendredis 2 et 9 août
LES CONTES DE L’INDIEN BLANC, BALADE NATURALISTE
OLIVIER APAT, CHANTEUR ET CONTEUR (64)
19H-22H
TOUT PUBLIC (à partir de 6 ans)
Rendez-vous à la Maison Carrée. Sur réservation. Attention tarif 5 €.
Toucher l’invisible, s’imprégner ensemble des sons du soir et du Grand Mystère puis se laisser attraper par quelques chants et contes mettant en scène la faune sauvage des lieux et les esprits indiens. Une balade crépusculaire originale à vivre comme une expérience philosophique du vivant. Après la balade nature, nous visionnerons les images de nos voisins animaux prises sur le site (pièges photos).
A prévoir : vêtement chaud, lampe ou frontale, pique-nique.
Lecture des textes et témoignages préparés par les élèves
Dépôt au monument, d’objets rappelant les enfants qui ont été cachés
A partir de 11h30
Cérémonie en souvenir des combats de Nay du 12 juin 1944
Journée organisée dans le cadre de la labellisation de Nay “Ville et Village de Justes parmi les nations”. En présence des 3e du Lycée Saint-Joseph de Nay.
CONFERENCE « Meillon, village d’accueil pour les réfugiés (1936-1944) »
18h30 à la Maison Carrée
Par Dominiquer Piollet, Chercheur en histoire contemporaine et documentariste Avec la participation de Paul Mirat (petit-fils du maire de Meillon pendant la guerre)
Meillon village d’accueil, Meillon aux vingt-quatre maisons-refuges, Meillon commune désignée pour héberger des internés de Gurs en permission… Qui se souvient encore de ces gens de toutes nationalités, de toutes origines, de toutes religions, qui ont trouvé dans le village un abri, de la nourriture, du réconfort ?
L’histoire commence dès la Guerre d’Espagne, lorsque des milliers de civils se réfugient en France, de 1936 à 1939. Paul Mirat – maire de Meillon de 1935 à 1944 – a beaucoup voyagé dans sa jeunesse, il parle l’espagnol, lui et sa femme Maria Elisa Larrague, née en Argentine, sont sensibles au sort des réfugiés. Scolarisés à Pau, leurs fils Yves et Michel ont pour mission de diriger ceux qu’ils rencontrent vers Meillon, où Maria Elisa fait la cuisine pour les nourrir. Paul organise le village pour faire face à l’afflux de ces gens qui ont tout perdu, et qui suscitent une certaine méfiance : il convainc les Meillonnais d’ouvrir les chambres inoccupées, les étables, les écuries. Lui-même loge des familles dans les bâtiments de son haras, et dans sa propre maison.
Lorsque la guerre éclate en 1939, les habitants des régions du Nord et de l’Est s’enfuient devant les offensives allemandes. La population des Basses Pyrénées s’en trouve plus que doublée. À Meillon, vingt-quatre maisons-refuges sont équipées pour accueillir les populations qui se succèdent : Belges, Français du Nord et de l’Est, Alsaciens, Lorrains… Après l’Armistice de juin 1940, la plupart de ces déplacés retournent progressivement chez eux.
Meillon retrouve son rôle de refuge début 1941, commune désignée par la Préfecture pour héberger des détenus du Camp de Gurs en “permission”. Fait peu connu, cet effort pour faire sortir des internés juifs de l’enfer de Gurs a été en partie l’initiative de quelques membres du clergé, dont Monseigneur Auguste Daguzan, en lien avec des organisations juives, catholiques et protestantes (Daguzan sera déporté en Allemagne en 1944). Plusieurs de ces réfugiés juifs parviendront à émigrer aux États-Unis, d’autres à passer clandestinement en Suisse, échappant à la déportation.
Paul Mirat tient un registre, le “Livre du Maire”, dans lequel les réfugiés sont inscrits avec leur état civil, et le plus souvent une photo d’identité. Ce document unique – qui contient également les photos d’une grande partie des Meillonnais adultes à l’époque – a été déposé aux Archives communautaires de Pau Béarn Pyrénées, à la disposition des chercheurs.
Ce 12 juin, nous présenterons les histoires émouvantes de ces gens pour qui Meillon a été un refuge dans un temps de terreur.
https://maison-carree-nay.fr/wp-content/uploads/2024/06/OIP-e1717408911685.jpg438474Sophie Escudé-Quillethttps://maison-carree-nay.fr/wp-content/uploads/2021/07/2107-logo-mc-800.pngSophie Escudé-Quillet2024-06-03 12:03:272024-09-09 19:22:55Journée des « Justes » et des combats de Nay du 12 juin 1944
Samedi 18 mai
A partir de 10h30 Rencontre avec les artistes, Isabelle Vialle et David N’Diaye autour de leur exposition Carrée des Arts
Café, thé et petits gâteaux au menu !
https://maison-carree-nay.fr/wp-content/uploads/2024/04/IMG_20240120_092018_832-redim1024.jpg10241024Sophie Escudé-Quillethttps://maison-carree-nay.fr/wp-content/uploads/2021/07/2107-logo-mc-800.pngSophie Escudé-Quillet2024-04-19 09:22:422024-06-04 10:16:58Café-Rencontre avec les artistes
Festival de contes 2024
animations, festival de contesSamedi 3 août
LE CHAT GLOUTON
CONTES ET THÉÂTRE D’OBJETS
CARINE VENDÔME (64) accompagnée par son épinette des Vosges
Sur réservation – 10H (25 mn)
PETITE ENFANCE (de 6 mois à 5 ans)
Un perroquet tout bleu et très poli a un nouveau voisin : un énorme chat tout gris ! Il l’invite pour un fameux goûter qui va bien vite tourner à la gloutonnerie…. Ce chat a un estomac de géant, il n’en a jamais assez et avale tout ce qui passe sur son chemin ! Mais comment va se terminer ce festin? Toute cette histoire commence devant les fourneaux. Ce théâtre d’objets permet de découvrir des spatules, marmite, ciseaux…
C’est une cuisine d’objets en-chantés !
MURMURES D’ABEILLES
CONTES CHANTS ET MUSIQUES
COMPAGNIE LES VIREVOLANTES (26) avec Brigitte Ragot et Odile Leibenguth
16H (1h)
TOUT PUBLIC (à partir de 6 ans)
« Dis, grand-mère, l’hiver, les abeilles, elles dorment ? » Et si les abeilles, dans leur ruche, chantaient et se racontaient les histoires butinées aux 4 coins du monde ? Et si elles nous parlaient de notre humanité ? La solidarité, la force des petits, le partage ? Notre monde existerait-il sans les abeilles ? Mais attention !…
Ça frotte, ça pique aussi !
Et ça bourdonne joyeusement…
Rdv dans le jardin de la Maison de Retraite Saint-Joseph
FARANDOLE CELTIQUE
CONTES, CHANTS ET MUSIQUES
COMPAGNIE LES VIREVOLANTES (26) avec Brigitte Ragot et Odile Leibenguth
21H (1h10)
TOUT PUBLIC (à partir de 10 ans)
Chaque année, le jour où le soleil d’automne a poudré d’or toutes les feuilles des arbres, c’est la fête de Samhain. Et ce jour-là, quand la nuit tombe, s’ouvrent les portes de l’Invisible. Vous cheminerez alors dans le monde oublié des esprits de la nature. Derrière les feuillages, vous apercevrez le regard noble d’un elfe, le sourire espiègle d’un korrigan ou les ailes irisées d’une fée. Vous entendrez leurs rires et leur malice, leur grâce.
Les musiques et les chants, de la Bretagne aux terres gaéliques, accompagneront chacun de vos pas.
Une balade entre féérie et poésie.
Dimanche 4 août
AU TEMPS OÙ LES BREBIS PARLAIENT
CARINE VENDÔME (64) accompagnée par son épinette des Vosges
16H (50 mn)
TOUT PUBLIC (à partir de 7 ans)
Les très anciens bergers le savent, fut un temps les brebis causaient ! C’est ce qu’on dit, qu’il y a très longtemps, une nuit un berger insomniaque a tout entendu.
Ses bêtes se racontaient des histoires pour ne pas s’endormir… Des histoires à dormir debout, des secrets de la montagne et même des devinettes !
Enfin, une belle et grande histoire d’amour entre un berger et une fée…
C’est ce qu’on dit, alors je le dis moi aussi, parole de conteuse !
L’ARBRE
BALADE CONTÉE
COMPAGNIE L’OISEAU TONNERRE (64) Jean-Claude Tessier, parole et Marie-Pierre Tellechea, mouvement
18H (1h15)
TOUT PUBLIC
Quoi de plus beau qu’un arbre ; ce végétal majestueux plonge ses racines dans l’imaginaire de la terre mais aussi dans celui de la folie ou de la sagesse de l’homme. À travers des contes, légendes, poésies et récits du monde entier, le spectateur entrera dans cette magie, de la parole, du son et du mouvement. À travers un final chorégraphique étonnant, l’Homme retrouvera enfin ses racines sylvestres!
Rdv à la Maison Carrée.
Vendredis 2 et 9 août
LES CONTES DE L’INDIEN BLANC, BALADE NATURALISTE
OLIVIER APAT, CHANTEUR ET CONTEUR (64)
19H-22H
TOUT PUBLIC (à partir de 6 ans)
Rendez-vous à la Maison Carrée. Sur réservation. Attention tarif 5 €.
Toucher l’invisible, s’imprégner ensemble des sons du soir et du Grand Mystère puis se laisser attraper par quelques chants et contes mettant en scène la faune sauvage des lieux et les esprits indiens. Une balade crépusculaire originale à vivre comme une expérience philosophique du vivant. Après la balade nature, nous visionnerons les images de nos voisins animaux prises sur le site (pièges photos).
A prévoir : vêtement chaud, lampe ou frontale, pique-nique.
Tarifs
Entrée : 2 €
(sauf soirée naturaliste : 5 €)
Réservation et renseignements : 05 59 13 99 65
Repli en cas de pluie
Journée des « Justes » et des combats de Nay du 12 juin 1944
animations, conférencesCOMMEMORATION
A partir de 10h45 au Monument aux Morts – Nay
Cérémonie en souvenir des Justes
A partir de 11h30
Cérémonie en souvenir des combats de Nay du 12 juin 1944
Journée organisée dans le cadre de la labellisation de Nay “Ville et Village de Justes parmi les nations”.
En présence des 3e du Lycée Saint-Joseph de Nay.
CONFERENCE « Meillon, village d’accueil pour les réfugiés (1936-1944) »
18h30 à la Maison Carrée
Par Dominiquer Piollet, Chercheur en histoire contemporaine et documentariste
Avec la participation de Paul Mirat (petit-fils du maire de Meillon pendant la guerre)
Meillon village d’accueil, Meillon aux vingt-quatre maisons-refuges, Meillon commune désignée pour héberger des internés de Gurs en permission… Qui se souvient encore de ces gens de toutes nationalités, de toutes origines, de toutes religions, qui ont trouvé dans le village un abri, de la nourriture, du réconfort ?
L’histoire commence dès la Guerre d’Espagne, lorsque des milliers de civils se réfugient en France, de 1936 à 1939. Paul Mirat – maire de Meillon de 1935 à 1944 – a beaucoup voyagé dans sa jeunesse, il parle l’espagnol, lui et sa femme Maria Elisa Larrague, née en Argentine, sont sensibles au sort des réfugiés. Scolarisés à Pau, leurs fils Yves et Michel ont pour mission de diriger ceux qu’ils rencontrent vers Meillon, où Maria Elisa fait la cuisine pour les nourrir. Paul organise le village pour faire face à l’afflux de ces gens qui ont tout perdu, et qui suscitent une certaine méfiance : il convainc les Meillonnais d’ouvrir les chambres inoccupées, les étables, les écuries. Lui-même loge des familles dans les bâtiments de son haras, et dans sa propre maison.
Lorsque la guerre éclate en 1939, les habitants des régions du Nord et de l’Est s’enfuient devant les offensives allemandes. La population des Basses Pyrénées s’en trouve plus que doublée. À Meillon, vingt-quatre maisons-refuges sont équipées pour accueillir les populations qui se succèdent : Belges, Français du Nord et de l’Est, Alsaciens, Lorrains… Après l’Armistice de juin 1940, la plupart de ces déplacés retournent progressivement chez eux.
Meillon retrouve son rôle de refuge début 1941, commune désignée par la Préfecture pour héberger des détenus du Camp de Gurs en “permission”. Fait peu connu, cet effort pour faire sortir des internés juifs de l’enfer de Gurs a été en partie l’initiative de quelques membres du clergé, dont Monseigneur Auguste Daguzan, en lien avec des organisations juives, catholiques et protestantes (Daguzan sera déporté en Allemagne en 1944). Plusieurs de ces réfugiés juifs parviendront à émigrer aux États-Unis, d’autres à passer clandestinement en Suisse, échappant à la déportation.
Paul Mirat tient un registre, le “Livre du Maire”, dans lequel les réfugiés sont inscrits avec leur état civil, et le plus souvent une photo d’identité. Ce document unique – qui contient également les photos d’une grande partie des Meillonnais adultes à l’époque – a été déposé aux Archives communautaires de Pau Béarn Pyrénées, à la disposition des chercheurs.
Ce 12 juin, nous présenterons les histoires émouvantes de ces gens pour qui Meillon a été un refuge dans un temps de terreur.
Entrée gratuite
Café-Rencontre avec les artistes
animationsSamedi 18 mai
A partir de 10h30 Rencontre avec les artistes, Isabelle Vialle et David N’Diaye autour de leur exposition Carrée des Arts
Café, thé et petits gâteaux au menu !
gratuit, sans réservation